Une semaine à quatre filles
Publié le 27 mars 2014 | Petits Voyages | 159 commentaires
les superbes photos sont de Rejane qui m’a autorisée à les partager. Merci l’artiste.
Une semaine d’évasion sans les «gazous »
Ce n’est pas une limousine qui nous attendait à l’aéroport d’Agadir mais un camion, pas n’importe quel camion, Scani, une véritable maison sur roues à faire pâlir tous les adeptes du camping-car,
Et oui messieurs – c’est une femme qui conduit –
D’Agadir à Aglou plage en passant par Tiznit, à chaque journée son anecdote.
L’accueil plein d’humour du responsable du camping, les repas sur le pouce au milieu des marchés, le dépannage d’un«collègue» ensablé avec son immense camping-car, les après-midi dans le souk d’Agadir, le hammam de quartier et les moments de farniente au soleil, sans oublier nos fous rires.
Nous avons découvert un autre Maroc, loin des sentiers touristiques, oublié le guide du routard, notre guide à nous c’était Véro et ses fabuleuses adresses.
Première étape Tiznit, ville fortifiée à 80 km au sud d’Agadir, c’est à cet endroit que nous nous sommes vues affublées de nos surnoms (voir signature), par le responsable du camping qui en a profité pour nous vendre des bracelets, comment résister, il nous avait charmé avec son humour.
Le lendemain, nous étions à Aglou plage, station balnéaire, ne vous méprenez pas, ce n’est pas Deauville, oubliez les boutiques et les boîtes de nuit, ici c’est le calme. La plage et l’immense digue vous appartiennent.
Puis route vers Agadir, par les pistes, traversée de petits villages. Oups ! les rues ne sont pas larges, cela c’est joué à quelques centimètres, mais rassurez-vous, Véro au volant, elle assure.
Après une première nuit mouvementée dans Agadir, nous nous sommes installées à quelques kilomètres au nord de la ville, au bord de mer sur un spot de surf. Nous passions nos après-midi dans la ville à faire le plein de tapis, de savon noir, d’épices de babouches etc….., (est ce que nos valises vont être assez grandes ? pas sûre). Le soir diner dans des restos dont seule Véro connaît les adresses, et retour dans notre refuge sur la plage, loin du bruit, – ah ! si j’oubliais, juste un bruit, celui des vagues –
Merci Véro de nous avoir permis de partager ces moments de bonheur.
Mesdames la «commerçante», la «dessinatrice» et la «sans profession»
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